Un parfum de printemps

a envahi mon bureau! Et pas une microflaque à l'horizon: quelle professionelle!

Je ne sais si c'est cette ambiance champêtre (Javel parfum Lila) ou le brouhaha innocent des 1ères candis sortant de leur examen 4 étages plus bas, mais je ressens tout à coup le monde de possibilités infinies charriées par ce blog... le problème c'est leur tendance à se comporter comme ces espèces de minuscules points qui se déplacent dans le champ de vision, pas moyen de les fixer suffisamment longtemps que pour savoir de quoi il s'agit: une cicatrice? une poussière? un kyste? un reste de tartine?

Est-ce pour cela que les caméléons ont une telle mobilité oculaire et un si grand champ de vision? Pour laisser moins de chance à ces bidules de s'échapper? Les caméléons mangent-ils des tartines?

Nous ne le saurons jamais, et c'est pour cela que la vie vaut la peine d'être vécue.

Je vous propose désormais quelques photos réalisées mardi passé, à Lisbonne.

Ville magique, voyageuse sur l'Océan, en escale sur un fleuve qui la réveille, la fait tressaillir, la blesse parfois, mais qui chaque soir l'épouse dans les derniers rayons d'un soleil en partance pour d'autres continents.

Ca calme hein?