craché que dioxines, particules
et ouates monotones
puis le nuage perça,
strident
puis disparut
se reforma
de sa propre grâce
puis disparut
"mais oui mais c'est ça mais c'est très rare"
0 dans le centre du pays et -50 en campine…ah bon ?
C’était les prévisions pour le week end dernier par Denis Collard et nous étions heureux.
Nous? Oui nous, car bien sûr et vous l’aurez tous compris chers admirateurs, je vais vous parler ici de ma tendre moitié. Rassurez vous, elle n’aura aucun droit sur la ligne éditoriale de ces pages, aucune critique quant à la qualité de mon propos ne sera acceptée, c’est une promesse doublée d’une garantie de rigueur que je vous fais.
L’air était pur, la lumière éblouissante, nous décidâmes de nous laisser porter par le désir et d’aller vérifier le bon déroulement de l’intégration urbanistique du chantier Flagey.
Arrivés sur place, nous marchâmes longuement entre les structures métalliques rouillées, émergeant de marigots crasseux, jouâmes à cache cache derrière le buste de Fernando Pessoa, sans le troubler dans sa vaine contemplation du futur bassin d’orage, se remplissant des divers déchets de la civilisation occidentale.
une évidente question me vint à l’esprit :
Line, veux tu m’épouser ?
Mes frites n’en menaient pas large dans leur mayonnaise figée.